Quelques blagues pour commencer :  je connais une amie qui est tellement polie qu'elle se croit obligée de frapper sur la coquille de l'huître avant de l'ouvrir.

Le départ pour l'Algérie était joie et tristesse. Je n'avais jamais vu pleurer mon père, si Louis n'était pas intervenu me poussant dans le taxi je ne serais pas partie ce jour-là.

L'arrivée à Alger où tout était nouveau pour moi, promenade au bord de mer. Des femmes voulant que je les touche pour leur porter bonheur. J'ai su qu'être brune avec des yeux bleus avait le pouvoir de donner la joie.... Je n'ai jamais fait ce plaisir n'y croyant pas.

L'avion qui nous a déposé à Batna, l'entrée dans la caserne , le soleil qui brûlait, l'appartement au 3ème étage, le balcon tout autour. Ma vrai vie, ma vie de femme heureuse.

Bonjour à vous qui a me lire en espérant vous interresser. C'est trés amusant d'écrire ses mémoires. Mais tout d'abord un poême de mon cru pour vous situer mon âge.

Elle n'est plus là la jeune fille si belle et si souriante, à la démarche si légère, pétillante de joie de vivre et sur ses lèvres une chanson. C'était l'été hier et maintenant voici l'automne. Les pas se sont faits plus pesants. Réalité de la vie qui passe ; accélération du temps. Du passé lumineux reste une valse mélancolique.

A mes enfants qui sont ma joie de vivre